Découvrez quelques exemples de sports extrêmes

Il y a vraiment beaucoup de types de sports extrêmes sur plusieurs catégories également. Que cela soit concernant les sports de glisses, ou les chutes libres. Les sports extrêmes sont les meilleurs moyens d’avoir des sensations fortes et des taux d’adrénaline exorbitant si on aime cela ou qu’on a le goût du risque. Dans cet article, on va découvrir surtout le parapente et le saut a l’élastique.

Les activités liées au parapente

Le parapente est indépendant du parachutisme. C’est un aéronef dérivé du parachute qui permet la pratique du vol libre ou encore du paramoteur.

Le vol libre

C’est une activité sportive consistant à piloter un planeur ultra léger sans motorisation comme le deltaplane ou le parapente. On peut faire le décollage à pied depuis un point en hauteur. Les meilleurs sites de vol libre et également les plus connus en France sont : Laragne (dans les Hautes-Alpes), Val-Louron (dans les Pyrénées), Annecy, Saint-Hilaire-du-Touvet, Millau, le Puy-de-Dôme et le mont Poupet.

Le paramoteur

Le paramoteur est, pour faire simple, un parapente avec un moteur léger protégé par une cage sur le dos du pilote, avec une hélice qui fournit la poussée adéquate. Il ne requiert que très peu d’espace pour le décollage et l’atterrissage. Concernant le décollage, il est possible de le faire à même le sol plat. On n’a pas besoin d’être forcément en hauteur grâce à la poussée du moteur. Et pour l’atterrissage, on peut l’effectuer en général en coupant le moteur.

Le saut à l’élastique (ou bungee, bungy jumping, bungie, benji, puenting)

C’est une activité sportive et ludique en plein air qui consiste à se jeter dans le vide avec une corde élastique accrochée au torse ou aux chevilles. L’objectif du saut à l’élastique est d’obtenir des sensations fortes procurées par la chute libre qui se suivent de remontées et d’oscillations successives en premier lieu. Deuxièmement, c’est pour rechercher les effets du vertige dû à la hauteur.

L’élastique

Pour faire du saut à l’élastique, on doit avoir un élastique de bonne qualité. Celui-ci est formé par tout un ensemble de fils souples en latex réunis ensemble parallèlement dans une gaine en tissu non torsadé, bien resserré et ficelé à intervalles réguliers. L’élastique se remplace au bout de 150 sauts même s’il peut en général durer jusqu’à 1500 sauts, pour des raisons de sécurité.

Le départ et la réception

Avant de faire un saut à l’élastique, il faut tester l’élastique. On fait tomber un ensemble de poids d’un total plus lourd que celui prévu pour les sauts. S’il n’y a aucun imprévu, on peut y aller. Lors de la réception, pour les sauts à l’élastique un peu trop haut, un câble vient s’accrocher au bas de l’élastique pour remonter le participant mécaniquement. Mais pour un saut depuis un pont, un viaduc ou une grue, le sauteur doit rencontrer le responsable en bas, puis se détache et effectue toute la remontée par des chemins ou des marches d'escalier permettant de rejoindre le haut du viaduc.